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Paris, le 11 avril 2025

Essai des motos Cruiser Harley-Davidson 2025

Essai des motos Cruiser Harley-Davidson 2025

Moto-Net.Com est brièvement passé au guidon des six motos de la famille Cruiser de Harley-Davidson : les accessibles A2 Street Bob et Heritage Classic, les ostentatoires Fat Boy et Breakout et les puissantes Low Rider de 114 ch. Contact.

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Sommaire

Six ans déjà que Harley-Davidson n'avait pas fait évoluer sa gamme Softail, ses motos avec amortisseur dissimulé façon cadre rigide. Désormais rebaptisée Cruiser, cette famille qui représente presque un tiers des ventes reçoit toute une série d'améliorations, à commencer par la généralisation du bicylindre de 1923 cc. Le Milwaukee-Eight 117, pour les initiés.

Ce bicylindre longue course (103,5 mm x 114,3 mm) - évidemment culbuté et accouplé à une transmission par courroie - exploite un refroidissement mixte air-huile avec un radiateur inséré entre les montants du cadre tubulaire acier. Un châssis par ailleurs commun à toute la gamme, à quelques variantes de géométrie et de périphériques près. En clair : les six Cruiser 2025 sont l'illustration de la stratégie de partage de plate-forme !

De notables différences apparaissent pourtant à la lecture des fiches techniques : si le V-twin est identique, ses performances varient considérablement. Le "117" présente trois variantes : une version d'accès de 91 ch et 156 Nm sur les Street Bob et Heritage Classic, une intermédiaire de 103 ch et 168 Nm sur les Fat Boy et Breakout et une définition hautes performances de 114 ch et 173 Nm sur les Low Rider S et ST.

Ce surplus de punch s'obtient essentiellement par l'admission, avec des filtres à air et des injections spécifiques. Les blocs des Low Rider sont par ailleurs davantage poussés pour prendre 5900 tr/mn, contre 5600 tr/mn pour les quatre autres motos Cruiser. Matez au passage le superbe couvercle d'air chromé des Fat Boy et Breakout, ainsi que le côté "prépa" du filtre tendu vers l'avant des Low Rider. C'est beau !

Six motos cruiser, dont deux A2

Nos lecteurs - qui, comme chacun sait, ont un peu plus de jugeote que les autres - auront déjà saisi que les Street Bob et Heritage Classic se placent volontairement sous les 95 ch pour être éligible au bridage à 47,5 ch imposé aux nouveaux permis A2. A noter que Harley n'a plus que trois motos à proposer aux débutants, en ajoutant la Nightster Special. Son offre A2 comprenait 18 modèles en 2016 !

"Le niveau de performances d'origine du 117 nécessite un bridage par construction", nous éclaire Caroline Sorel du service marketing et communication. "Raison pour laquelle le choix s'est porté sur les Street Bob et Heritage Classic, qui développent 98 ch "en Full" de l'autre côté de l'Atlantique. Nous aimerions davantage d'offre A2, mais l'usine rechigne à cause des contraintes franco-françaises : la France est le seul pays d'Europe à imposer le permis A2 quel que soit son âge ainsi qu'une formation de 7 heures (passerelle, NDLR) après les deux ans probatoires".  

Autre information notable avant de s'élancer pour un (très) court galop d'essai : les Sport Glide et Fat Bob disparaissent du catalogue 2025. Dommage : la Sport Glide était l'une des meilleures ventes en France et en Allemagne… mais pas aux États-Unis, décisionnaires. Quant au "Gros Robert", il avait tout de même une sacrée allure ! Allez : let's ride !

Essai Street Bob 2025

Autrefois rattaché à la gamme Dyna, le Street Bob est le plus accessible des Cruiser 2025. En termes de prix (17 590 euros), de poids (293 kg avec plein de 13,2 litres) et de performances avec ses 91 ch. Sa nouvelle boîte à air circulaire lance un écho chromé à son nouvel échappement 2-en-1. Sa petite instrumentation circulaire - étonnamment lisible - renseigne sur la cartographie d'injection, nouveauté intégrée sur tous les Cruiser en plus d'un antipatinage et d'un régulateur.

La prise en mains est toujours déroutante, pour les non-initiés, avec son guidon Ape Hanger qui relève les bras à hauteur des épaules. Le but ? Ventiler les aisselles en été ! Blague à part, la posture n'est pas très académique - surtout avec les repose-pieds hauts et reculés -, mais la selle basse (680 mm) et confortable associée au réservoir étroit compensent en partie. Sa monte pneumatique étroite (100 et 150 mm) facilite grandement les manoeuvres et les mises sur l'angle.

Sa nouvelle motorisation propulse l'équipage avec une belle énergie de 2000 à 4500 tr/mn, tout en conservant l'élasticité suffisante pour "cruiser" à 1800 tr/mn en sixième à 80 km/h. Taquiner son seuil de souplesse, à 1200 tr/mn, est possible à condition d'accompagner en douceur la poignée de gaz électronique. Chaque nouvelle génération mécanique amène le même constat chez Harley : les précédentes étaient plus onctueuses et mélodieuses à très, très bas régime. La faute aux normes qui étouffent ce type de moteur…

Les trois cartographies (pluie, route et sport) influent significativement sur la sensibilité de l'accélérateur et le répondant, avec une pêche communicative au cap des 3000 tr/mn. Dommage que des vibrations se fassent ressentir juste au-dessus, alors que le cylindre arrière tend à chauffer le mollet droit en ville. Deux caractéristiques communes à toute la gamme Cruiser 2025.

Points forts Street Bob 2025

  • Look indémodable
  • Moteur sympa et répondant
  • Une des trois Harley A2 en 2025

Points faibles Street Bob 2025 

  • Position fatigante au long cours
  • Amortisseur et frein avant limités
  • Prix élevé pour une entrée de gamme

Essai Heritage Classic 2025 

Deuxième moto déclinée en A2 avec la Street Bob, l'Heritage Classic partage les mêmes performances de 91 ch et 156 Nm. Les sensations mécaniques sont en toute logique identiques. Son vaste pare-brise fixe prodigue une excellente protection du buste et des épaules, en plus de renforcer son allure "old school" avec ses triple optiques chromées à LED, son garde-boue enveloppant et son guidon relevé.

Sa finition hors de critique - comme toute la gamme 2025 - fait honneur à son prix élevé de 28 490 euros. Tarif qui inclut des sacoches verrouillables plus esthétiques que pratiques : n'espérez pas y glisser un casque jet, et encore moins un intégral ! On se console avec son magnifique cadran circulaire de 12,7 cm - bordé de chrome - sur lequel apparaissent distinctement la cartographie, le niveau d'essence, le rapport et la pression des pneus. Tous les Cruiser 2025 reçoivent par ailleurs un levier de frein réglable : good news !

Contre toute attente, l'Heritage Classic Plus est facile à apprivoiser que la Street Bob malgré ses 33 kg supplémentaires (326 kg avec le plein de 18,9 litres). Son secret ? Un équilibre des masses particulièrement réussi, qui la rend autostable dès les premiers kilomètres-heure. Son ergonomie plus "conventionnelle" joue en sa faveur : les jambes s'étendent - et se détendent - naturellement vers l'avant sur ses plateformes caoutchoutées.

Sa selle douillettement rembourrée cale parfaitement le bas du dos et vient agréablement compenser le manque de progressivité de la suspension arrière. L'amortisseur Showa - réglable en précharge via une molette, sauf sur Fat Boy et Breakout - a beau étrenner de nouveaux ressorts en 2025, cela ne suffit pas à significativement améliorer ses capacités d'absorption. Là encore, le constat est identique sur les six motos de la famille Cruiser.

La faute, essentiellement, au débattement limité (43 mm !!) de cet équipement dissimulé sous la selle. A l'inverse, la fourche de l'Heritage et de la Street Bob est très douce dans son premier tiers d'enfoncement. Presque trop pour gérer les transferts de masse brutaux, notamment lors de forts freinages. Et pourtant, le simple disque de 292 mm avec étrier 2-pistons n'est ni violent ni extraordinairement puissant ! Comme toujours chez Harley, le frein arrière efficace et dosable est un allié indispensable.

Points forts Heritage Classic 2025

  • Un bagger pour permis A2
  • Confort de selle et protection 
  • Relances joyeuses grâce au couple élevé

Points faibles Heritage Classic 2025 

  • Capacité d'emport limitée des sacoches
  • Bouchon de réservoir sans charnière
  • Pas de sélecteur double branche

Essai Fat Boy 2025 

Le "Gros garçon" reçoit la variante de 103 ch et 168 Nm du Milwaukee-Eight 117 qui lui apporte un gain de puissance de "13%" et de couple à hauteur de "8%" par rapport à l'ancien 114. Cette version du twin de 1923 cc - identique à la Breakout ci-dessous - se reconnaît au filtre à air en forme de cornet amoureusement chromé. Son prix passe de 26 350 euros à 26 890 euros : inflation plutôt mesurée compte tenu des évolutions 2025.

L'échappement 2-en-2 est conservé, tout comme les autres caractéristiques-clés du Fat Boy : une nacelle de phare polie comme un miroir, des roues pleines de 18 pouces extra-larges (160 et 240 mm) ainsi qu'une fourche de 49 mm recouverte d'un capotage et copieusement allongée (30° d'angle de chasse). C'est une moto hors normes, au gabarit aussi impressionnant qu'Arnold Schwarzenegger lorsque l'acteur la pilotait dans "Terminator 2" en 1991 !

Ses 315 kg avec le plein de 18,9 litres se ressentent distinctement moteur coupé et à basses vitesses, malgré un centre de gravité placé très bas. Heureusement que son guidon extrêmement large lui prodigue un fort bras de levier ! L'assise, bien dessinée, manque toutefois d'épaisseur pour pallier durablement les faiblesses de l'amortisseur. Les marche-pieds permettent une conduite décontractée, mais gare aux prises d'angle trop franches car elles frottent rapidement.

La sonorité de cette version "intermédiaire" du 117 est plus grondante que celle des Street Bob et Heritage aux mi-régimes. Cette mélodie charmeuse accompagne avec prestance ses accélérations plus prononcées à partir de 3000 tr/mn, bien aidées par ses 12 Nm supplémentaires. Un sélecteur double branche s'accorderait mieux à la position pieds en avant, d'autant que la sélection des six Cruiser 2025 se montre plutôt virile. Pour autant, passer un rapport à la volée est possible - au bon régime - grâce à son verrouillage rapide et franc.

Points forts Fat Boy 2025

  • Gain de performances palpables
  • Technologies embarquées efficaces
  • Qualité perçue : du bon et du beau métal ! 

Points faibles Fat Boy 2025 

  • Poids et mensurations intimidantes
  • Prises d'angle limités
  • Direction "collante" et sous-vireuse (pneu XXL)

Essai Breakout 2025 

La plus spectaculaires des motos Harley-Davidson - pour MNC, en tout cas ! - évolue par petites touches en 2025 puisque la Breakout exploitait déjà le twin "117" l'an dernier. Cette moto longue comme un jour sans Bud reçoit néanmoins les aménagements sur l'admission communs au reste de la gamme et adopte par ailleurs le même filtre à air avec sortie grillagée que sur la Fat Boy.

Parmi les nouveautés, les trois cartographies sélectionnables en roulant depuis le commodo droit qui influent de manière sensible sur le répondant de ses 103 ch et ses 168 Nm. Comme la Fat Boy, la Breakout tire profit de son couple très généreux aux intermédiaires pour mouvoir ses 309 kg sans temps mort. Ses relances sont franches, surtout en mode Sport, hormis sur les derniers rapports qui tirent un peu long (la 6ème est typée "Overdrive").

Sa jante à bâtons - superbement fraisés - de 21 pouces (oui, oui : comme une motocross !) entraîne inévitablement une pesante inertie sur les inclinaisons. Le gros boudin de 240 mm à l'arrière renforce ce phénomène : il faut déployer un certain effort à travers son guidon plat - éloigné du buste - pour l'inscrire en courbes. Sa garde au sol très limitée (115 mm : la plus faible des Cruiser !) vous rappelle très vite à l'ordre en conduite dynamique.

Gare également au frein avant, sous-dimensionné pour des engins pareils. Le simple disque de 300 mm avec étrier 4-pistons - montage axial - doit impérativement s'accompagner de son pendant arrière de 292 mm et étrier 2-pistons. A cette condition, les freinages sont efficaces et bien équilibrés, à défaut d'être puissants et incisifs. Mais ce n'est pas la philosophie de ce type de motos ! La Breakout est par ailleurs la plus chère de la gamme à 30 100 euros ( 29 650 € en 2024). 

Points forts Breakout 2025

  • Quelle gueule !
  • Finitions exceptionnelles
  • Moteur vivant et pétaradant, juste comme il faut

Points faibles Breakout 2025 

  • Amateurs de discrétion, passez votre chemin !
  • Train avant lourdaud
  • Garde au sol frustrante

Essai Low Rider S et ST 2025 

Les plus puissantes des Cruiser 2025 Harley-Davidson : 114 ch et la bagatelle de 173 Nm pour la Low Rider S et Low Rider ST, variante semi-carénée avec sacoches ! Ces performances flatteuses sont signalées par l'admission "Heavy Breather" qui évoque les prépas Muscle Bike. Leur fourche inversée Showa et, surtout, les double disques de 300 mm entérinent leurs velléités sportives. Dommage qu'elles soient les seules à en bénéficier…

Car le "toucher de route" y gagne énormément en précision et en rigueur, tandis que la qualité du freinage fait un bond de géant. Les Low Rider S et ST freinent puissamment, au point de ressentir les limites torsionnelles de la fourche de 43 mm en pressant brutalement le levier droit ! Pas étonnant au regard du poids à stopper : 323 kg, tout de même, pour la ST avec son enveloppant tête de fourche solidaire du cadre, comme sur les "FXRT".

Ce demi-carénage associé à une courte bulle prodiguent par ailleurs une protection satisfaisante du haut du corps, sans toutefois égaler le niveau de déflexion de l'Heritage Classic. L'ergonomie des Low Rider est par ailleurs particulière : les repose-pieds sont (très) hauts et (trop) avancés, alors que le large guidon maintient les bras fléchis et le buste légèrement incliné.

Les plus grands auront l'impression d'avoir les coudes posés sur les genoux, avec en tête l'image d'un crapaud sur une boîte d'allumettes ! Mais craquez-la, cette allumette, et accrochez-vous car la mise à feu est instantanée ! Quelle pêche ! Les accélérations sont décoiffantes, le couple omniprésent. Même la cartographie "Pluie" engendre déjà son lot de sensations avec une solide baffe à 4000 tr/mn. La seule qui justifie pleinement la greffe d'un contrôle de traction sensible sur l'angle, efficace qui plus est !

Le rendement du gros twin est renforcé à tous les régimes, mais c'est dans la seconde partie que la mécanique est métamorphosée : le 117 cavale dans les tours avec un appétit rarement vu chez Harley, sorties de courbes explosives à la clé. Son secret ? La Motor Company lui a greffé les arbres à cames de la Road Glide CVO ST et son monstrueux twin de 1983 cc (Milwaukee-Eight 121). 

L'effet est radical avec des accélérations du tonnerre jusqu'au régulateur électronique à 5900 tr/mn (+ 300 tr/mn par rapport aux autres). Le tout accompagné d'une sonorité aux diapasons de cette épatante démonstration de force : les Low Rider S et ST grondent plus qu'elles ne pétaradent. Un amortisseur plus progressif et une position moins contraignante les rendraient redoutables dans les portions viroleuses !

Points forts Low Rider 2025

  • Moteur qui dépote !
  • Direction et frein bien plus performants
  • La ST est un surprenant Bagger sportif

Points faibles Low Rider 2025 

  • Ergonomie particulière
  • Confort moyen
  • Prix : 23 490 € pour la S et 24 590 € pour la ST

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