Moto-Net.Com a profité de la présentation presse de la nouvelle Katana 2019 au Japon pour visiter le Suzuki Plaza, un musée où la firme d'Hamamatsu expose ses principaux produits : métiers à tisser, autos... et motos bien sûr ! Suivez le guide MNC.
Dès son arrivée au Suzuki Plaza, le visiteur est plongé dans le vif du sujet : une ancienne Katana jouxte la porte d'entrée tandis qu'une GSX-R1000R et une Swift Sport encadrent le comptoir d'accueil. Au milieu du hall sont garées quatre voitures : la célèbre Jimmy, la méconnue Banelo, la craquante Xbee et la rationnelle Spacia.
Un monumental moteur hors-bord DF350A (V6 de 4,3 litres pour 350 chevaux !) fait face aux automobiles et cache - momentanément ! - un impeccable alignement de motos de course... La visite de Moto-Net.Com commence vraiment ici !
Faute de guide, le Journal moto du Net doit se contenter des commentaires - en japonais et en anglais - qui présentent très sommairement la plupart des modèles exposés. MNC vous propose de parcourir le musée d'Hamamatsu comme si vous y étiez, en se focalisant naturellement sur les motos !
Cette machine est une RGB500 qui était pilotée par Graziano Rossi (le papa du tout jeune Valentino), qui était monté à deux reprises sur le podium et s'était classé cinquième du championnat.
Cette moto aux couleurs Heron est une RGΓ500 sur laquelle le symbole Γ (gamma) a été employé pour la première fois. Elle était pilotée par Randy Mamola. Le n°3 américain a gagné deux courses et s'est classé deuxième du championnat.
Cette machine est une RGΓ500 qui était pilotée par Franco Uncini. Le n°15 italien a gagné cinq courses et est devenu champion du monde. Suzuki a en outre décroché le titre constructeur pour la septième fois consécutive depuis 1976.
C'est la RGV-Γ500 de l'an 2000, pilotée par Kenny Roberts Jr. Avec cette moto plus légère et mieux contrôlable, le n°2 américain a remporté 4 des 16 courses de la saison pour devenir le premier champion 500 cc et fils-de-champion de l'histoire des Grand Prix moto.
Cette machine est une GSX-RR qui était pilotée par Maverick Vinales. Le pilote n°25 du team Suzuki Ecstar a roulé dans la catégorie MotoGP et a remporté le douzième Grand Prix de la saison en Grande-Bretagne.
Alex Rins, 5ème du championnat MotoGP l'an dernier, est rejoint en 2019 par son compatriote espagnol Joan Mir. Rappelons que Suzuki a réinvesti la catégorie reine en 2015. Sur les 19 courses de la saison 2018, l'équipe a récolté quatre deuxièmes places et cinq troisièmes places.
Métier à tisser automatique, pourvu à gauche d'un boîtier accueillant quatre navettes. La navette est la pièce qui passe le fil de trame à travers les fils de chaîne. Grâce ses multiples navettes, ce métier permettait de dessiner des motifs. Il est également muni d'un système de cartes utilisées pour programmer la machine.
Ce moteur auxiliaire a été conçu en considérant qu'une cylindrée de 36 cc était suffisante pour avancer. Il intègre des technologies exclusives d'entraînement par double chaîne pour une utilisation facilitée des pédales. Le modèle E3 est sorti en 1954. Cette évolution réussie a fondé les bases des futures Suzuki.
La Diamond Free est arrivée sur le marché comme le premier véritable deux-roues motorisé. Grâce à la puissance transmise par la double chaîne, ce nouveau véhicule s'est rapidement écoulé au rythme de 4000 exemplaires par mois. Elle a obtenu la victoire lors de la première édition du "Mt Fuji Hill Climb" et a également effectué la traversée "Trans-Japan". Ces succès sportifs lui ont permis d'atteindre les 6000 ventes mensuelles.
La Colleda CO est le premier véhicule à accueillir un moteur quatre-temps à arbre à cames en tête de 90 cc. Elle posséde un réservoir de 7 litres en forme de goutte et une partie cycle plus raffinée. Le moteur intègre un allumage par volant magnétique avec un système automatique d'avance à l'allumage. C'était également le premier modèle équipé d'un compteur de vitesse. La Colleda CO a remporté la seconde édition du "Mt Fuji Hill Climb" en catégorie 90 cc.
La Colleda TT se distingue par son tout nouveau phare avant super large et caréné, sa ligne aérodynamique, ses clignotants fuselés et tout un ensemble d'éléments devant lui donner une forte image de "voiture américaine". Tant et si bien qu'on l'a surnommée la "Cadillac du monde moto".
L'un des principaux changements (par rapport à la ST2) est l'adoption d'un phare en forme de fer à cheval, comme sur la Colleda TT, ce qui est devenu un élément commun à toutes les motos Suzuki. Le moteur a également évolué, passant de 5,5 ch sur le modèle 2 à 7 ch. La suspension avant est à fourche télescopique et la suspension arrière à piston plongeur.
Ce modèle, dévoilé au Motor Show 1958, a été la première moto bicylindre 2-Temps à disposer d'un démarreur électrique. Sa course longue (42 x 45 mm) était grandement appréciée pour sa puissance en hausse et ses hautes vitesses. Elle bénéficie également d'un habillage "Jet Line" et d'une fourche de type télescopique à l'avant.
La Colleda ST-6A possède des lignes "Jet Line" qui étaient très appréciées à cette époque. Le réservoir pentagonal, la boite à outils ainsi que la forme de la selle étrennaient aussi de nouvelles formes. Il s'agit du premier modèle à porter l'emblème "S" de Suzuki sur son réservoir.
Le Selpet MA-1 est un véhicule hautes- performances inaugurant le premier engin de type "cell motor" au monde, accouplé à une boite 4-rapports. Ce nouveau moteur est monté sur un cadre "back-bone", et les protège-jambes sont montés de série. Le moteur a ensuite été utilisé sur des 50 de compétition, décrochant des victoires au TT sur l'Ile de Man.
La Colleda est la version sportive de la 250 TA. Ces principales nouveautés sont la selle double, le guidon, le garde-boue avant chromé, le silencieux conique. Le moteur était retravaillé afin de développer 20 chevaux.
C'est l'authentique machine de course que E. Degner a mené vers la victoire durant la course 50 cc du Tourist Trophy en 1962. C'est cette même année que Suzuki a décroché les titres pilote et constructeur dans la catégorie, ponctuant la magnifique première victoire de Suzuki à l'international.
En dépit de son appellation B100, ce véhicule dispose d'une cylindrée de 118 cc. Cela lui confère d'excellente performances moteur, un confort de conduite supérieur et une bonne maniabilité, donc une belle carrière. Les cylindres en aluminium combinent hausse de fiabilité et légèreté, pour une moto extrêmement économique.
Une Supersport créée pour devenir la moto la plus rapide des "quart-de-litre". Ce véhicule peut être considéré comme l'ancêtre des modèles Suzuki sur le marché international, embarquant les toutes dernières avancées technologiques issues des machines victorieuses en Grand Prix, comme un bicylindre en aluminium, le premier graissage séparé sous pression "Cylinder Crankshaft Injection System" pour une moto.
Basé sur la T250 qui succédait à la T21, le Scrambler TC250 a des pneus plus larges et un garde-boue avant en position haute. L'exemplaire exposé est un modèle américain vendu au Japon. Sa préparation correspond à un usage tout-terrain, à l'image de la grande couronne qui favorise les accélérations à basses vitesses.
Ce modèle possède le premier bicylindre deux-temps de 500 cc produit de série. Ses hautes performances fascinaient autant les fans que sa vitesse de pointe de 181 km/h et son accélération sur 400 mètres en tout juste 13,2 secondes. Il pourrait être vu comme le précurseur de la série GT qui ont conquis le monde entier dans les années 70. C'était un modèle dont la réputation a établi le fait que "si c'est un deux-temps, alors c'est une Suzuki".
Le moteur à distributeur rotatif est monté sur un cadre "V-bone". Il se distingue par son échappement haut et son réservoir aux lignes acérées. La selle comprend un mini dosseret et le guidon est compact, créant une allure sportive rappelant les machines de course de l'époque.
Ce modèle au style très aiguisé s'inspire d'un loup lancé à la poursuite d'une proie. Il descend de la Wolf T125 (1969) et partage sa partie-ycle, bien que son moteur, son réservoir et ses roues soient tous différents. Ce véhicule rapide et puissant a capturé l'attention d'une foule de jeunes gens en son temps.
Il s'agit de la première Suzuki "Nanahan", ou "Sept-et-demi". Elle possède le tout premier moteur à refroidissement par eau, 3-cylindres 2-temps, du commerce. Suzuki a profité des technologies développées en Grand Prix pour dessiner la partie-cycle et les freins (à tambours, NDLR ?). Malgré sa grande puissance, le moteur se montre calme et doux. Les américains l'ont affectueusement surnomé le "Buffle d'Asie" (Water Buffalo).
Un modèle ambitieux proposant un moteur à piston rotatif monorotorde type Wankel. le design résolument moderne et unique de Giorgetto Giugiaro a été acclamé par la critique internationale. Malheureusement, en raison du choc pétrolier, la production s'est arrêtée au bout d'un an.
Lancé en 1975 aux côtés du tricycle Rinkle, ce vélo a un style épuré, un cadre léger et solide, ainsi qu'un robuste frein à tambour à l'arrière. Le Vankle a été populaire chez les fans de cyclo-cross ou cyclo-trail, selon les capacités physiques et techniques de l'utilisateur.
Il s'agit de la version homologuée de la RL250L. Avec son réservoir en aluminium, son cadre en acier chrome-molybdène, entre autres, la moto ressemble à une moto de compétition équipée pour la route. Le moteur est basé sur celui de la Hustler 250, mais le volant moteur et le ratio de compression ont été revus pour une utilisation plus apaisée. C'était la seule Suzuki "trial" conçu pour se faire plaisir en ville.
Cette machine qui a demandé deux ans de développement, est la première Suzuki 4-temps 400 cc. Développée simultanément avec la GS750 et la GS550, elle intègre le moteur 4-temps dont la qualité et la fiabilité surpassent la concurrence. Le moteur à double arbre à cames en tête offre de vives montées en régime et la légère partie-cycle assurent à la moto une extraordinaire popularité.
Ce VanVan de 75 cc a été introduit en 1974, en tant que petit frère du modèle VanVan 90 lancé en 1971. La série VanVan possèdait alors un design unique et un caractère propre. Le modèle exposé a appartenu à Mr H. Yamazaki (Hamamatsu) jusqu'en 1998.
La GS750E se basait sur la GS750 II, un modèle qui profitait d'un poids plume dans la catégorie par rapport à ses compatriotes, et de trois freins à disque (deux devant, un derrière) pour une meilleure sécurité. Les évolutions concernent la selle et la paire de jantes en étoile. Ce modèle a bénéficié d'une bonne réputation grâce à ses caractéristiques moteur 4-en-ligne DACT et le bon équilibre de la partie-cycle offrant une stabilité supérieure.
Cette machine dessinée par Hans A. Muth a été dévoilé au salon Intermot de Cologne en 1980, où elle a marqué les esprits. La moto comprend de nombreux accessoires de Touring, comme une transmission par cardan, un indicateur de rapport engagé, un grand réservoir de 23 litres, etc. Le recours à la couleur orange en de nombreux endroits était également révolutionnaire.
La GSX1100S Katana, dessinée par Hans Muth, a été lancée sur le marché européen en 1981. Depuis, elle a connu une énorme popumlarité sur de nombreux marchés autour du globle. Sa production s'est poursuivie jusqu'en 2000. La Katana Final Edition lancé en l'an 2000 a été produite à 1100 exemplaires. Ce modèle est spécial puisqu'il porte le n°1100, qu ia marqué la fin de la Katana, aimé par de nombreuses personnes à travers les années.
La XN85, qui tient son nom du code employé durant son développement, était la première Suzuki de série équipée d'un moteur Turbo, basé sur celui de la GS650. Le Turbo, qui pouvait entrer en action aux alentours de 4000 tr/min, donnait au moteur des airs de 1000 cc. Le style était unique et sans précédent. Avec ses trains roulants (système antiplongée notamment), le pilote en avait pour son argent.
La RG250Γ a été développée grâce au savoir-faire technique accumulé en Grand Prix. Outre la première mondiale pour une machine de série que constitue son cadre en aluminium à section carrée, elle recourt à l'aluminium sur d'autres pièces comme le bras oscillants, platine de repose-pieds... Sans oublier la suspension à biellettes "Full-floatter", la fonction antiplongée de la fourche (ANDF pour "Anti Nose Dive Fork") et d'autres innovations : cette moto ne s'est privée d'aucune technologie de pointe.
Une moto au style américain, équipée d'un monocylindre quatre-temps et quatre-soupapes à simple arbre à cames en têtes, doté de chambres de combustion sphériques. Après son lancement au Japon en 1982, sa production en Chine et au Vietman s'est poursuivie de nombreuses années. Le modèle exposé a été utilisé par Hiroshi Kimura, à Osaka, jusqu'en 2001.
La GR650 peut donner l'impression d'être tout à fait orthodoxe, mais elle intègre une première mondiale : un mécanisme d'équilibrage moteur débrayable, lui permettant de prendre des tours avec douceur et vigueur, sur l'ensemble des plages de régimes. Ce modèle a été encore plus populaire à l'étranger, en tant que moto de moyenne cylindrée facile à manier.
C'est une "super-multi bike" équipée d'un petit mais costaud cadre MR-Albox et d'un puissant 4-cylindres en ligne développant 59 ch. Le système DPBS (pour "Deca Piston Brake System") assure des freinages puissants. Cette machine s'est attiré un maximum d'attention grâce à son allure sportive, et a fait la joie de nombreux pilotes qui s'en sont servis comme base en catégorie TTF3.
La 400 "Gamma", qui intègre un moteur 4-cylindres en carré à distributeurs rotatifs, était à peu de choses près configurée comme la machine de course, et lui ressemblait donc énormément. Cette RG400 Gamma est une déclinaison de la RG500 Gamma. Avec ses quatre silencieux, elle attirait les detnteurs du permis moyenne cylindrée.
Le guidon, placé loin et très bas, le cadre alu carré aussi solide que flexible, la carénage complet : tout se combinait pour donner à cette première "R750" une image sportive. Cette machine, qui disposait du plus haut potentiel dans sa catégorie, était très estimée en termes de performance. Elle a donc servie de base à de nombreuses machines de course en TTF-1 et en endurance.
Ce véhicule est la version rallye de la solide DR600. Équipée d'un imposant sabot moteur, de protège-phares, d'un mini-carénage et d'un grand sac arrière, cette moto à la décoration spécifique a connu un immense succès au Salon de Paris.
Voilà une petite moto loisir au gabarit compact, aux pneus larges et basse pression qui évoquent un buggy. Il reçoit un moteur plus puissant (4,3 ch) que le premier RV50 de 1972 (4 ch), permettant des virées acharnées à basses et moyennes vitesses. L'autonomie également améliorée atteint 85,3 km/l.
Ce modèle a dopé la demande de petites motos loisir de 50 cc appelées "Mini Race Replica". Ce modèle, bien que compact, adopte des solutions de grandes motos comme son cadre à section carrée, son carénage complet et son monobras arrière. Ses graphismes et couleurs sont uniques en leur genre. La moto ici présente a été donnée par Yuji Sato (Hamamatsu).
Bien que d'autres constructeurs japonais arrivaient avec des "cruisers" de grands gabarits, la Cavalcade proposait bien la plus forte cylindrée. C'était une grosse routière qui délivrait beaucoup de puissance, doublée de prestations luxueuses comme le réglage automatique de la précharge arrière, ainsi qu'une selle arrière à hauteur et dosseret réglables, etc.
Le designer Hans Muth crée un style rafraichissant en accord avec la mouvance des jeunes japonais. Le cadre acier à section carrée accueille un moteur doté du SATCS, un système de refroidissement triple : à eau pour la culasse comme sur la GSX-R, à air pour le bloc cylindre et à huile pour les pistons. La moto offrait de hautes performances en ville comme sur route.
10,3 secondes au 400 mètres départ arrêté. Rapport poids/puissance de 1,51 kg/ch. Distribution des masses avant et arrière de 50/50. Utilise le système exclusif de refroidissement air/huile (SACS) pour développer 130 chevaux. Combinée à une partie-cycle légère, ce véhicule revient à faire rouler une Formule 1 sur route ouverte.
Pour son retour en Grand Prix moto 500 cc en 1988, Suzuki sélectionne Kevin Schwantz. En ouverture de la saison, au Grand Prix du japon, Schwantz se place aux avant-postes dès le début de course. Il lutte au coude à coude avec Wayne Gardner sur Honda jusqu'à la fin de course et parvient à offrir à Suzuki sa première victoire.
La DR800S descend de la "DR-Z", un modèle de course rallye au design recherché et costaud. Elle est surnommée la "DR-Big" en raison de sa forte cylindrée. La V-Strom 1000 lancée en 2014 hérite de l'ADN de cette DR800S, qui est désormais la base de toute la série V-Strom.
La SW-1 se caractérise par son design basique et rond, son carénage enveloppant et beige. La selle est placée bas pour faciliter la conduite et le double sélecteur prend soin des chaussures. Une machine rare qui se vendra à un prix élevé.
À la fin des années 80, les motos sportives sont devenues très prisées en raison de la popularité grandissante des Grand Prix. La Bandit 400V s'inscrit dans cette trajectoire et sort en 1989 au Japon, avec de belles pièces et un magnifique cadre. En 1991, elle adopte un nouveau moteur équipé d'une distribution variable, une première pour Suzuki. Le modèle exposé a été donné par Eiraku Motors (Hamamatsu).
Ce véhicule est équipé d'un large panier à l'avant. Il offre un remarquable confort, possède d'astucieux crochets, un vide-poche et un volumineux espace de rangement pour accueillir un casque. Il est lancé dans une version Loft, similaire à celle de l'auto Wagon R.
Ce modèle, le premier gros scooter Suzuki, est arrivé lors du boum des scooters. Le long empattement de 1590 mm et le centre de gravité bas autorisé par les deux roues de 13 pouces propose une conduite confortable et un maniement tout en douceur. Cette moto est exportée sous l'appellation Burgman.
Ce modèle, le premier gros scooter Suzuki, est arrivé lors du boum des scooters. Le long empattement de 1590 mm et le centre de gravité bas autorisé par les deux roues de 13 pouces propose une conduite confortable et un maniement tout en douceur. Cette moto est exportée sous l'appellation Burgman.
Ce modèle comprend un cadre double poutre en aluminium très compact, un aérodynamisme époustouflant et un 4-cylindres à distribution par chaine. L'Hayabusa est la sportive ultime qui intègre les toutes dernières technologies comme les revêtement SCEM des cylindres, la double injection et le système d'admission d'air SRAD, etc.
Suzuki se penche sur les principaux usages d'un scooter 50 cc : se rendre au travail ou à l'école, faire des courses et tout autre activité à faible distance. En adoptant de nouvelles technologies, dont un revêtement du cylindre plaqué chrome, le Choinori parvient à ne peser que 39 kg. Le prix de ce scooter mignon, fabriqué à l'usine de Toyokawa au Japon, se limite à 59 800 yens.
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