La nouvelle épreuve du code de la route entrée en vigueur le 2 mai (lire MNC du 17 février 2016 : le changement de code, c'est maintenant ) a finalement été jugée trop difficile : face à un taux d'échec monumental, le gouvernement fait marche arrière en attendant d'y voir plus clair !
La nouvelle épreuve du code de la route entrée en vigueur le 2 mai (lire MNC du 17 février 2016 : le changement de code, c'est maintenant) a finalement été jugée trop difficile : face à un taux d'échec monumental, le gouvernement fait marche arrière en attendant d'y voir plus clair !
L'UNIDEC dénonce un taux d'échec historique |
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"Au vu des taux de réussite particulièrement bas depuis l'entrée en vigueur de 1000 nouvelles questions du code de la route, la Délégation à la sécurité et à la circulation routières (DSCR) a pris des mesures correctives pour laisser le temps aux candidats à l'épreuve théorique générale d'approfondir leur formation", indique le ministère de l'intérieur en soulignant que "les candidats ont majoritairement échoué de peu à l'examen, ce qui témoigne d'une préparation insuffisante, notamment dans les nouvelles thématiques introduites par la réforme (notions de secourisme, nouvelles technologies...)".
Session de rattrapage
Le gouvernement a donc décidé de "retirer provisoirement à compter du mardi 10 mai, première date possible en raison de contraintes techniques, les questions accusant les taux de réussite les plus bas". Ces questions seront "réintroduites progressivement le cas échéant après reformulation, au fur et à mesure de la familiarisation des candidats avec la nouvelle approche de l'examen du Code".
Privatisation de l'examen du code de la route |
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Des places d'examens supplémentaires devraient également être ouvertes "au cours du mois de mai" pour permettre aux candidats ayant échoué de pouvoir repasser rapidement et gratuitement l'examen. Un courrier sera par ailleurs adressé à l'ensemble des écoles de conduites pour attirer leur attention sur les thématiques qui n'ont manifestement pas été suffisamment révisées.
Enfin, la DSCR conseille aux formateurs et aux élèves, notamment ceux inscrits sur les prochaines sessions de l'épreuve, de "refaire une évaluation attentive de leur préparation par rapport aux nouvelles questions et prendre le temps si nécessaire d'une formation complémentaire avant de se présenter avant la fin mai à cet examen qui n'est pas plus difficile, mais qui est différent".
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