Le circuit portugais, qui n'a pas accueilli de course d'endurance mondiale depuis l'an 2000, reçoit le 26 septembre les 12H d'Estoril, nouvelle finale du championnat du monde d'endurance EWC suite à l'annulation du Bol d'Or. Souvenirs des pilotes Moto2 et Moto3.
"C'est un circuit très technique. Il y a des endroits clés pour faire la différence et une alternance de parties très lentes et d'autres plus rapides. Ça va être un circuit compliqué pour les dépassements mais j'apprécie beaucoup cette piste car il y a beaucoup de rythme et on ne s'ennuie pas au guidon de sa moto".
"J'ai beaucoup de souvenirs à Estoril. C'est le circuit sur lequel j'ai fait mon tout premier GP 125 avec l'équipe de France en 2007. En 2012 j'étais en Moto3. J'aime beaucoup ce circuit sur lequel je suis toujours allé vite. Il y a pas mal d'endroits délicats et techniques, comme la toute petite chicane en montée jusqu'à la sortie du dernier virage. Parmi les virages rapides, il y a la cassure avant la ligne droite. Elle passait à fond en Moto3, mais je ne suis pas certain qu'avec les 1000 cm3 ce soit aussi simple. En tout cas je pense que ça va faire une très belle course !"
"C'est un circuit assez physique et avec un peu tous les styles de virages, de gros freinages, des petites épingles et des virages rapides. J'aimais quand même assez bien à l'époque, mais pour l'endurance ça sera une course très exigeante".
"Je n'ai pas roulé à Estoril depuis 2012, donc ce sera comme un nouveau circuit pour moi... surtout avec une Superbike ! Mais je suis très impatient, c'est un circuit très particulier et sinueux avec beaucoup de changements d'angles et des virages rapides et lents de rayons différents. Il sera indispensable d'avoir une moto maniable pour les 12 heures de course, sinon ce sera physiquement difficile. C'est intéressant de courir sur un circuit où aucune équipe n'a d'expérience. Cela met tout le monde au même niveau en début de semaine. Je suis certain que nous apprécierons cette finale sur un nouveau circuit".
"J'aime beaucoup Estoril car c'est un circuit à l'ancienne avec des virages lents et rapides. J'y ai fait mon premier GP en 250 en 2001 et ma dernière saison en Moto2 en 2012. Le tracé n'a pas changé. Il y a un virage très lent qui semble étrange mais qui est très sympa et très spectaculaire à regarder de l'extérieur. Le circuit et la région sont vraiment chouettes ! J'adore le Portugal pour son caractère naturel et calme, c'est le meilleur endroit pour trouver la concentration pour la dernière course de la saison. Je suis vraiment très heureux d'y retourner".
.
.
.