La gendarmerie nationale a lancé début mars une vaste opération de traque d'acheteurs de détecteurs illégaux de radars routiers sur internet, révèlent nos confrères d' Auto Plus en kiosque aujourd'hui. Une opération contre ces détecteurs est " en cours ", a confirmé la gendarmerie sans donner de plus de détails, "…
La gendarmerie nationale a lancé début mars une vaste opération de traque d'acheteurs de détecteurs illégaux de radars routiers sur internet, révèlent nos confrères d'Auto Plus en kiosque aujourd'hui. Une opération contre ces détecteurs est "en cours", a confirmé la gendarmerie sans donner de plus de détails, "se conformant ainsi aux directives de l'autorité judiciaire".
Selon le magazine, "600 acheteurs pour l'instant" de ces appareils illégaux ont été identifiés. Ils ont été soit convoqués à la gendarmerie, soit interrogés directement chez eux. Dans tous les cas, ces détecteurs, d'une valeur moyenne de 500 euros, ont été saisis.
Le journal cite deux témoins dont l'un se félicite de ne pas avoir fixé son détecteur dans la voiture, car le cas échéant c'est son véhicule qui aurait été saisi. Ils seront convoqués au tribunal ultérieurement.
Auto Plus rappelle également que le fait de "détenir, transporter ou de faire usage d'un appareil capable de déceler les radars est puni par une amende de 5ème classe (1500 euros), un retrait de deux points sur le permis et une éventuelle suspension de permis".
Rappelons que pour l'instant (lire MNC du mars 2010 : les avertisseurs de radars dans le collimateur du gouvernement), seuls les avertisseurs de radars sont autorisés.
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