Malgré le rendez-vous obtenu par l'antenne parisienne de la Fédération française des motards en colère (FFMC 75) suite à son action contre l'interdiction des motos immatriculées avant le 1er juin 2000 , la Mairie de Paris maintient son délirant projet et dit assumer pleinement les conséquences sociales d'une telle mesure annoncée…
Malgré le rendez-vous obtenu par l'antenne parisienne de la Fédération française des motards en colère (FFMC 75) suite à son action contre l'interdiction des motos immatriculées avant le 1er juin 2000, la Mairie de Paris maintient son délirant projet et dit assumer pleinement les conséquences sociales d'une telle mesure annoncée pour le 1er juillet (lire MNC du 12 février 2015 : Paris valide l'interdiction d'accès aux motos d'avant 2000 et notre Dossier spécial Deux-roues motorisés en ville)...
"Pas beaucoup d’impact sur la qualité de l’air"
Face aux militants de la FFMC 75, l'adjoint au maire chargé des transports, des déplacements, de la voirie et de l'espace public, Christophe Najdovski (EELV, ci-contre), a déclaré que "même si l’interdiction des deux-roues motorisés d’avant le 1er juin 2000 n’aura pas beaucoup d’impact sur la qualité de l’air, les motards doivent participer à l’effort collectif" (comme s'ils n'y participaient pas déjà suffisamment grâce à leur encombrement réduit, leur fluidité dans le trafic et leur facilité à se garer, NDLR).
Quant au volet social de cette décision, qui pénaliserait de nombreux parisiens et banlieusards utilisant leur moto ou leur scooter pour aller travailler et n'auront pas nécessairement les moyens d'en acheter un plus récent, M. Najdovski en a "pleinement conscience" mais il "assume ces dommages collatéraux", raconte la FFMC 75... A suivre sur MNC : restez connectés !
.
.
.
Commentaires
Ajouter un commentaire
Identifiez-vous pour publier un commentaire.